La commission a donné un avis défavorable puisque la question n'est pas de savoir s'il était opportun ou non que le secteur privé puisse intervenir dans des démarches administratives de délivrance de titres car seule compte la qualité du service rendu aux usagers. Par ailleurs, c'est bien parce que la réglementation est complexe, notamment pour la délivrance des cartes grises, que le recours à des intermédiaires privés s'est répandu. La Cour des comptes a d'ailleurs rappelé en 2020 qu'il aurait été plus judicieux de simplifier avant de dématérialiser la délivrance des certificats d'immatriculation des véhicules.