Vous savez, lorsqu'il est question de statistiques de la délinquance, les chiffres prennent souvent l'allure de cours de la Bourse. Autrement dit, on ne voit que ce qu'on regarde. Il nous semble que pour traiter ces sujets avec sérieux, et telle est notre volonté, il faudrait mener des enquêtes de victimation, de nature plus qualitative, afin de déterminer où et comment se manifeste tel ou tel phénomène et calibrer les politiques publiques en conséquence. Ah ,