Ce drame m'inspire plusieurs remarques. Globalement, vous avez raison, le GIEC pointe les responsabilités et montre la nécessité de s'adapter aux changements climatiques. Le plan Avenir montagnes que vous avez évoqué est une action concrète puisqu'il s'accompagne d'un fonds de 331 millions d'euros dédié à la diversification des activités touristiques compte tenu de l'absence de neige l'hiver et de la fonte des glaciers l'été. Mais il s'agit aussi d'anticiper des risques encore inconnus. En effet, si certains risques sont bien identifiés, le réchauffement climatique en engendre de nouveaux, qui nécessitent de développer une forme de résilience.