Jean François Corty, vice-président de Médecins du monde, explique dans Libération qu'« on passe peu à peu d'une prison à ciel ouvert à un charnier à ciel ouvert ». Madame la Première ministre, vous et votre gouvernement avez fait le choix de soutenir inconditionnellement le gouvernement de M. Netanyahou. Or la démocratie, c'est le droit pour d'autres – ils sont nombreux – de penser et de dire que le carnage doit s'arrêter tout de suite, qu'il faut un cessez-le-feu immédiat.