Faciliter l'accès aux droits sexuels et reproductifs est une question de santé publique. L'État doit donc investir pour faciliter l'accès à tout type de contraception, en particulier pour les jeunes générations. Dans cette optique, démocratiser l'accès à des modes de contraception moins utilisés, comme les préservatifs internes, mais aussi la contraception hormonale ou thermique masculine, est non seulement une question de santé publique, mais aussi d'égalité. Parce que la contraception ne doit pas être seulement l'affaire des femmes, nous vous appelons à étudier la possibilité de renforcer la recherche, la prévention et la formation des professionnels sur la diversité des méthodes contraceptives.