Madame Iborra, nous partageons votre constat. Nous faisions déjà le reproche à la proposition de loi portant mesures pour bâtir la société du bien-vieillir en France d'ignorer les modalités de financement et de ne pas avoir mis les acteurs autour d'une table.
Certains sujets pourraient être évoqués. Nous l'avons fait hier par le biais d'amendements instituant un prélèvement obligatoire de solidarité nationale pour le financement de la cinquième branche. On pourrait aussi discuter d'un système assurantiel. Nous restons dans l'attente de propositions du Gouvernement alors qu'une mission transpartisane avait été envisagée par le prédécesseur de Mme Bergé.