Plus il y a d'emplois, moins il y a de chômeurs et plus les finances de l'Unedic s'améliorent – il y a plus de cotisations chômage et moins de prestations chômage. C'est un cercle vertueux, les politiques en faveur de l'emploi ont un effet direct sur le déficit de l'Unedic. Pour forcer le trait, imaginons qu'il n'y ait plus que dix chômeurs en France : partagerait-on l'excédent de l'Unedic entre ces dix personnes ? Cela n'a aucun sens ! C'est aux politiques de l'emploi qu'il faut s'intéresser.