Le programme 216 n'est pas conforme aux engagements de la Lopmi en crédits de paiement : il manque 200 millions. J'imagine que cette différence est compensée par les autorisations d'engagements qui seront exécutées l'année prochaine dans le cadre de la réalisation de grands projets.
J'ajoute que ces grands projets étant réalisés à effectifs constants, le recours aux marchés pour l'assistance de maîtrise d'ouvrage et la maîtrise d'ouvrage est très fréquent alors que l'État a les moyens de les assurer. Il faut donner des moyens supplémentaires au pilotage. Je rappelle l'exemple du logiciel de la procédure pénale numérique qui a planté car la direction de projet n'était pas suffisamment robuste. Il a fallu repartir à zéro, ce qui a occasionné la perte de millions d'euros.