Vous avez donc eu raison, madame la Première ministre, d'actionner en responsabilité l'article 49, alinéa 3 : nous ne pouvons pas nous permettre de priver les Français de ce dispositif de solidarité sans équivalent dans le monde – pas plus que de mettre en péril les emplois des centaines de milliers de nos concitoyens qui œuvrent chaque jour pour la santé et l'accompagnement médico-social en France.