la fin du numerus apertus, la fin de la maltraitance institutionnelle, la réouverture de lits, une politique nationale pour la santé mentale, la fin des exonérations de cotisations, un ratio de résidents par soignant, un pôle public du médicament, et tant d'autres mesures.
Vous dites que les milliards ne tombent pas du ciel, mais nous avons trouvé l'argent. Nous pourrions par exemple taxer les milliardaires. Je vois déjà vos têtes apeurées, mais il faut leur faire confiance. Si nous leur proposons mon plan pour le grand âge et l'autonomie afin de stopper la maltraitance institutionnelle, avec la création de résidences pour les seniors telles que nous les imaginons, je suis sûre qu'ils vont se précipiter non pour fuir dans un autre pays, mais pour sortir leur chéquier et adhérer au projet. Avec les Restos du cœur, ils ont montré qu'ils étaient capables d'être généreux, alors pourquoi ne pas leur demander ?