Si la ministre de l'Europe et des affaires étrangères est absente, et je vous prie de l'en excuser, c'est justement parce qu'elle se trouve au Conseil de sécurité des Nations unies, organe où nous défendons depuis plus d'une semaine le principe d'une trêve humanitaire qui déboucherait, à terme, sur un cessez-le-feu.