C'est donc avec beaucoup de confiance et de conviction que je viens vous demander de rejeter ce texte.
Au préalable, j'affirme clairement que nous condamnons avec la plus grande fermeté les violences et les dégradations que nous avons connues cet été. Brûler les bâtiments publics, des écoles, des mairies, des bibliothèques, piller des commerces, tirer avec des armes de guerre sur les policiers, attenter à la vie des élus et de leurs familles : il n'y a aucune excuse, aucune justification à de tels actes, et il n'y en aura jamais.
Face aux violences urbaines, la réaction des services de l'État a été immédiate et claire.