Monsieur le président, monsieur le ministre, chers collègues, ce texte, qui pouvait susciter un espoir pour les femmes atteintes d'endométriose, est désormais vide. Il est devenu inutile d'envisager une quelconque avancée. Je souhaite donc que nous cessions de l'étudier. Je remercie tous les collègues qui ont contribué, par moments, à la qualité des échanges. Je suis député, mais surtout dépité.