Je tiens à dire, s'agissant du diagnostic, que la recherche avance puisqu'on expérimente des techniques de diagnostic par la salive, sur des micro-acides ribonucléiques, dits micro-ARN, ce qui va simplifier beaucoup les choses.
Il y a aussi des avancées en matière thérapeutique. Début juillet, une publication majeure, dans Science, a montré qu'une grande partie des endométrioses pourraient, comme c'est le cas des ulcères gastro-duodénaux, être causées par une bactérie, fusobacterium. Une antibiothérapie serait alors la solution. Affaire à suivre dans les mois à venir.