Il y a tout de même un grand paradoxe : l'article 2 enferme les femmes dans leur maladie, alors qu'elles demandent plutôt un meilleur accompagnement. Nous sommes d'accord sur ce dernier point : sans doute qu'il faudrait les accompagner et leur parler d'une manière davantage bienveillante. Elles font souvent état d'une vraie souffrance face au jugement qui est porté sur elles. Les figer dans un statut de travailleur handicapé au motif qu'elles sont atteintes de cette maladie est complètement inadapté et ne correspond pas à ce qu'elles souhaitent réellement.