De deux choses l'une : soit vous n'êtes intéressés que par votre nombril et vous ne lisez pas ce qu'écrivent ni ce que proposent vos adversaires politiques – ce qui est parfaitement possible s'agissant de vous, membres du groupe Renaissance – et, alors, vous êtes de bonne foi ; soit vous êtes de mauvaise foi et c'est encore moins pardonnable.
En effet, nous avons présenté au cours de la campagne présidentielle un très long texte à propos des femmes et j'ai défendu à cette occasion la proposition que nous soutenons aujourd'hui concernant l'endométriose. Ce texte était accompagné d'un clip vidéo de sensibilisation, comprenant le témoignage de nombreuses femmes, d'élues, de cadres du Rassemblement national qui ont souhaité exprimer publiquement les caractéristiques de la maladie dont elles étaient victimes et comment elles le vivaient.
Vous avez le droit d'être en désaccord avec nous, c'est le principe de la démocratie. Néanmoins, si nous pouvions éviter les énormes mensonges sur un sujet aussi important, la démocratie y gagnerait, ainsi d'ailleurs que ceux qui nous regardent.