Si le Gouvernement et moi-même avions une quelconque hésitation, croyez-vous que ce serait grâce à des fonds publics, dans le cadre de France 2030, qu'une start-up française a développé un test salivaire qui permet de dépister l'endométriose, et qui est en cours d'évaluation par la Haute Autorité de santé ? Mon objectif, c'est que les femmes touchées par l'endométriose puissent intégrer des parcours de soins. Mon objectif, c'est que tous les professionnels de santé – au-delà des seuls médecins – sachant repérer et dépister cette maladie.