Je le répète : autant de femmes, autant de formes différentes d'endométriose !
En commission, j'ai fait part de la nécessité de prendre en compte les conséquences de la maladie sur la santé mentale des femmes. Or le Rassemblement national manque ici la première occasion de la rentrée politique de renforcer la stratégie du Gouvernement en matière de santé mentale, dont nous avons pu constater la situation critique à de nombreuses reprises au cours de l'année écoulée, notamment à travers les travaux menés par la délégation aux droits des femmes et à l'égalité des chances entre les hommes et les femmes – j'en profite pour remercier mes collègues Anne-Cécile Violland et Pascale Martin pour leur excellent rapport.