Je tiens à excuser Johnny Hajjar : il est actuellement au Conseil économique, social et environnemental (Cese), qui présente aujourd'hui ses préconisations sur la vie chère Outre-mer.
Si la chaîne de formation des prix Outre-mer connaît des dysfonctionnements, c'est notamment du fait d'une défaillance dans la surveillance de la concurrence. Il faut renforcer à la fois les services de l'État – le Ciom le prévoit – et les OMPR, qui constituent le volet citoyen en la matière. Je ne suis pas certain que cette disposition soit la meilleure façon de le faire, mais ce débat mérite d'être posé et il faudra que le Gouvernement apporte une réponse. Si j'avais pu voter ou donner un avis, j'aurais donné un avis de sagesse.