Le CIR, dont le coût s'élève à 7 milliards d'euros, suscite des interrogations sur de nombreux bancs. Il n'est pas question de le supprimer – chacun reconnaît son utilité pour soutenir la recherche – mais de le resserrer en s'appuyant sur les nombreuses évaluations dont nous disposons.
Dans cet objectif, l'amendement vise à exclure du bénéfice du CIR le secteur financier, qui représente 2 % de la dépense. Face au déséquilibre majeur de nos finances publiques, nous devons rechercher l'efficacité. Nous devons absolument nous atteler à ce chantier.