Nous ne remettons pas en cause le principe du rachat d'actions, ni leur redistribution éventuelle aux salariés, mais nous proposons d'instaurer, sur le rachat lui-même, une taxe de 1 %. Monsieur le rapporteur général, comment mieux partager la valeur qu'en redistribuant à toute la population le fruit de cette taxe, qui ira au budget de l'État ?