À chaque fois, on nous annonce au moment des dialogues de Bercy que des ouvertures seront possibles sur certains sujets et, quand on en vient à l'examen du PLF, il ne reste plus rien !
Alors que nous avions beaucoup évoqué le rachat d'actions – je crois même que c'est vous qui avez abordé cette question –, vous nous dites aujourd'hui que le Gouvernement fera peut-être une proposition. Nous ne pouvons pas nous satisfaire de cela : il faut que notre commission vote l'un de ces amendements.
À propos d'Airbnb aussi, on nous avait fait beaucoup d'annonces lors des dialogues de Bercy, qui se sont réduites comme peau de chagrin.
Sur le rachat d'actions, vous étiez vous-mêmes plus critique qu'aujourd'hui, monsieur le rapporteur général.