En vous écoutant, et en écoutant le groupe Rassemblement national, on pourrait penser que nous n'avons rien fait. Or nous avons instauré deux contributions significatives, au niveau européen, dont le rapporteur général et la majorité viennent de demander la prorogation. Nous ne cédons à aucun chantage.
À la différence des dispositifs que vous défendez, la contribution que nous avons établie est européenne et non nationale, pour ne pas mettre notre pays en difficulté. Leur rendement dépendra de l'évolution des prix de l'énergie. L'an dernier, il s'est élevé à plusieurs dizaines de milliards d'euros, qui ont permis de financer le bouclier tarifaire.