Nous défendons la stabilité fiscale. Nous avons baissé les impôts ; nous n'avons pas l'intention d'instaurer des contributions supplémentaires de façon erratique. Nous voulons rester dans la moyenne européenne pour attirer les entreprises et garantir notre dynamisme économique.
Ensuite, nous assistons à un retournement de la conjoncture économique ; les superprofits ne sont sans doute pas si nombreux.
Troisièmement, vous visez tous les secteurs. Nous avons préféré cibler la contribution exceptionnelle sur les énergéticiens, qui ont effectivement perçu des recettes beaucoup plus importantes, sans rapport avec l'évolution de leurs coûts de production.
Enfin, étant donné les fluctuations, un calcul triennal déterminerait qu'un tiers des entreprises au moins ont perçu des superprofits, qu'il y ait ou non une crise.
Avis défavorable sur tous les amendements.