Notre amendement tend à moduler le taux d'imposition en fonction de l'allocation des bénéfices : les petites et moyennes entreprises paieraient moins d'impôts, les entreprises du CAC40 – qui se concentrent sur la distribution de dividendes, au détriment du reste – davantage. Je rappelle qu'entre 2011 et 2021, la dépense par salarié n'a augmenté que de 22 % alors que les versements aux actionnaires ont augmenté de 57 % : ce sont les chiffres d'Oxfam.