Je souhaite aller dans le sens du rapporteur général : la suppression de cet abattement ne pénaliserait pas forcément les plus fortunés : celui-ci ne s'applique qu'à l'IR et pas aux prélèvements sociaux, donc ceux qui ont les moyens de se soustraire à l'impôt ou de privilégier certains mécanismes de placement pourront éviter cette mesure, à laquelle n'échapperont pas les petits actionnaires, pas plus sans doute que les personnes bénéficiant de l'actionnariat salarié.