Il vise à conditionner le C3IV à des engagements climatiques ambitieux.
Avec près de 160 milliards d'euros versés en 2019, les aides publiques aux entreprises sont devenues le premier poste de dépenses de l'État. Il est impératif que ces milliards servent l'intérêt général, notamment en finançant la transition écologique à la hauteur de l'urgence et de nos objectifs. Il s'agit d'autant plus d'un impératif que la loi de finances de 2023 comportait plus de 67 milliards d'euros de dépenses néfastes pour le climat et la biodiversité, d'après les calculs du réseau Action Climat.