L'université Jean-Monnet de Saint-Étienne, dont je suis un ancien élève et administrateur, a été marquée par le projet de fusion expérimentale IDEX (initiative d'excellence) avec les universités de Lyon, qui a échoué. Si nous sommes convaincus de la nécessité de disposer de communautés universitaires fortes, ambitieuses, innovantes, avec de vrais pôles de spécialités, nous estimons capital de maintenir l'autonomie de l'université de Saint-Étienne et la souveraineté de ses instances dirigeantes. Sa faculté de médecine n'aurait pas pu apporter autant à la recherche sans cette autonomie.
Quelle est votre méthode en la matière ?