Je salue le travail de Mme Vignon, engagée contre la maltraitance animale. Le crédit d'impôt n'offre aux propriétaires qu'une solution à retardement. En revanche, nous pourrions préparer avec le rapporteur général une dotation aux collectivités en vue de l'examen de la seconde partie du texte. Cela éviterait l'effet d'aubaine pour les propriétaires, qui doivent de toute façon stériliser leurs chats.