Ce grand nombre d'amendements est certes pour partie lié au « 49.3 » mais, plus largement, il témoigne d'un dysfonctionnement important de notre institution. Depuis six ans, nous ne pouvons pas travailler sérieusement sur ces milliers d'amendements. Je souhaite qu'avec la présidente de l'Assemblée nationale nous réfléchissions à notre façon de procéder. Je ne jette la pierre à personne, bien entendu.