La logique des amendements est simple : nous considérons que le taux du PFU appliqué au titre de l'impôt sur le revenu, qui est de 12,8 %, est faible – et je pèse mes mots – par comparaison avec le taux marginal de l'impôt sur le revenu. Les amendements ne sont pas révolutionnaires et n'ont pas valeur de symbole. Il s'agit simplement de faire en sorte que le travail paie plus que la rente, ce qui, me semble-t-il, est une maxime du Président de la République.