Cette réforme a engendré une hausse considérable des dividendes versés, contribuant au renforcement de la concentration des richesses. La situation des finances publiques rend nécessaire, parallèlement à la réalisation d'économies, l'accroissement des recettes, donc la hausse de la fiscalité du patrimoine. L'amendement I-CF2287 vise à faire passer le taux d'IR contenu dans le PFU de 12,8 à 14,8 %, ce qui porterait le taux global à 32 %.