Nous soutenons l'amendement, en cohérence avec notre position lors des dialogues de Bercy : instaurer la priorité nationale dans le système social ou l'accès à l'emploi conduit à l'étendre à la fiscalité et aux devoirs qu'ont les contribuables envers leur nation, quel que soit le pays du monde où ils décident de vivre.
Le dispositif s'inspire des dispositions d'autres démocraties libérales. La limitation à dix ans lui confère un statut expérimental de bon aloi, sous réserve que la question de la binationalité soit résolue. Nous pouvons y travailler ensemble, s'il y a une volonté d'aller chercher l'argent où il se trouve.