S'agissant des recettes, notre système fiscal n'est pas non plus le plus juste ni le plus efficace. La pression fiscale est réelle, mais des pistes pour davantage imposer les entreprises et les ménages les plus privilégiés ont été identifiées. À de nombreuses reprises, nous avons soutenu des amendements visant à solliciter l'économie purement spéculative et les géants du numérique : nous regrettons qu'ils n'aient pas été retenus.
Le débat, si j'ai bien compris, sera bientôt suspendu par l'activation de l'article 49, alinéa 3 de la Constitution. Cela marquera la fin du débat parlementaire, et donc malheureusement le moment où les propositions du Parlement cesseront d'être écoutées alors qu'elles constituent pourtant la base de la vie démocratique.