Nous voici réunis pour entamer l'examen du deuxième projet de loi de finances initiale de cette législature, qui, comme le premier, fera, sans surprise, l'objet d'un 49.3. Comme tout parlementaire, je ne peux pas me réjouir du recours à cet article, qui prive la représentation nationale de débat. Néanmoins, je veux saluer le président, le rapporteur général et l'ensemble des membres de la commission des finances