La motion de rejet préalable sur laquelle nous sommes appelés à nous prononcer est la conséquence de la politique du Gouvernement : M. Macron et Mme Borne ne gouvernent pas ; ils soumettent leur majorité relative et ils imposent leur volonté aux oppositions, avec un mépris total du Parlement. Mme Borne est ainsi la deuxième Première ministre la plus avide de 49.3 de l'histoire de V
Le rejet de la première partie du PLF par la commission des finances montre à quel point la politique du Gouvernement déplaît, y compris dans son propre camp, puisque nous avons adopté des amendements proposés par certains membres de la majorité.
Malgré ce vote – certes motivé par des motifs parfois divergents –, vous ne vous remettez nullement en question, n'apportez aucune inflexion et ne recherchez pas la coconstruction, tant les dialogues de Bercy se révèlent un exercice convenu.