La réalité est bien différente du chant des sirènes. Nous conservons un niveau de dépense publique et d'imposition parmi les plus élevés au monde. Nous devons donc continuer, sans relâche, à prendre des mesures pour réduire la dépense publique, la dette, la fiscalité, l'imposition et les taxes qui pèsent sur les ménages et les entreprises – ce que fait cette majorité.
La réalité, ce sont des incertitudes géopolitiques qui doivent nous amener à reconstituer des marges de manœuvre financières, sans quoi nous serions irresponsables aux yeux de nos compatriotes et jugés sévèrement dans les mois et les années à venir.
La réalité, ce sont des investissements indispensables en faveur de la transition écologique, de la sécurité et de l'éducation.