Monsieur Delaporte, héritier de la SFIO qui a donné les pleins pouvoirs à Pétain, merci de balayer devant votre porte et d'arrêter les insultes ! Si vous voulez vraiment nous en parler, que ce soit à l'extérieur de l'hémicycle, que l'on puisse vous poursuivre en justice. Mais je doute que vous soyez assez courageux !
Je voulais vous faire part d'un autre témoignage : celui de Jean-Luc, dont on a cassé le bus. L'école de sa fille Mathilde a été incendiée, ses fils Hadrien et Louis ne peuvent plus aller au judo, leur gymnase ayant également brûlé. Thomas ne peut plus s'entraîner au foot, il a été obligé de prendre la porte. Sa nièce Clémentine ne peut pas aller au Planning familial honorer son rendez-vous, le local ayant été saccagé. Sandrine ne peut pas aller à sa réunion non mixte racisée parce que le local est squatté. Jean-Luc, victime de ces émeutes, ne veut pas payer pour les casseurs, alors qu'il est déjà étranglé parce qu'il appartient à cette classe sociale à laquelle on demande toujours plus. Il fait partie de ces 65 % de Français qui veulent que les casseurs soient les payeurs. Jean-Luc est révolté à l'idée que des parlementaires d'extrême gauche n'aient jamais appelé au calme pendant les émeutes, mettant même de l'huile sur le feu. Une chose est sûre : Jean-Luc ne comprend pas, il votera Marine Le Pen en 2027.