Le groupe Les Républicains s'oppose à l'article 2. D'une part, les femmes souffrant d'une endométriose handicapante pour leur quotidien ou leur travail peuvent déjà demander une RQTH auprès de la MDPH. D'autre part, la modification de l'article L. 5213-1 du code du travail est inutile – elle pourrait même s'avérer dangereuse –, car sa rédaction est suffisamment large.
L'amendement vise à apporter une vraie simplification du quotidien professionnel des femmes qui souffrent de cette maladie invalidante. Celles dont les conditions de travail s'y prêtent pourraient moduler leur semaine et obtenir, grâce à un certificat médical, des jours de télétravail. Cette avancée, simple à mettre en place, permettrait aux femmes de se sentir plus à l'aise et de travailler convenablement, sachant que les douleurs peuvent être fortes et survenir sans signe précurseur.