Je reviens sur l'épisode que nous avons vécu avant-hier soir. Même si, au regard de l'importance de notre commission dans le quotidien des Français, il s'agit d'un non-événement, il n'est pas à la hauteur de notre mission. Si certains d'entre vous n'attachent pas d'importance à la parole donnée, d'autres y tiennent. Notre groupe est régulièrement ostracisé et nos amendements ne sont jamais retenus, puisque, même lorsque vous êtes d'accord avec nous, vous imposez un vote contre nos positions. Ce type de pratique doit cesser. Je forme le vœu, madame la présidente – vous qui êtes neutre et avez une vision éclairée des choses –, que notre commission s'apaise et que les idées y prennent le pas sur les doctrines, dans l'année à venir.