Je confirme ce que je disais au début de l'examen du texte : nous voterons en faveur de ces mesures de bon aloi, même si vous essayez de traiter un simple symptôme d'un mal beaucoup plus profond, à savoir la marchandisation de la formation professionnelle, sur laquelle il conviendrait que l'Assemblée se penche rapidement à l'avenir. Comme je l'ai fait au cours de la discussion générale, j'insisterai en outre, après notre collègue Guiraud, sur la réalité des moyens qui seront déployés en vue de lutter contre la fraude et le démarchage téléphonique abusif. L'article 2 en particulier mériterait que son contenu ne demeure pas lettre morte, que l'on ne se contente pas de signifier aux agents de faire cela en plus du reste alors que, pour eux, les choses sont déjà compliquées.