Quant à moi, je m'oppose à la privatisation et à la marchandisation du sport. Je regrette que ce qui devrait être une passion, une activité culturelle ou sociale ne soit plus qu'une affaire d'argent. Voilà ce qui me scandalise, pas ces pratiques marginales par rapport à la manne financière réelle qui est en jeu. C'est un peu comme dans les années 1950, quand ceux qui n'avaient pas la télévision se regroupaient autour de l'unique téléviseur du village.