« N'est-ce pas à force de prononcer certains mots qu'on finit par en accepter le sens qui, tout d'abord, heurtait ? En mettant au point la langue, on rectifie les usages dans le sens de l'égalité des deux sexes. La féminisation initiale est celle de la langue, car le féminin non distinctement établi sera toujours absorbé par le masculin. »
J'invite nos collègues du Rassemblement national à s'inspirer de Hubertine Auclert et à retirer leur texte ou à avouer qu'ils disent n'importe quoi. En tout cas, nous voterons pour les amendements de suppression.