Je ne répéterai pas qu'ils veulent interdire le point médian là où il n'existe pas – à l'école ou dans les actes d'état civil –, mais aussi là où leur proposition de loi serait inopérante en raison de la liberté académique : à l'université. Je ne soulignerai pas à nouveau l'ineptie de leur argumentaire qui soutient que « je » ou « vous » ne sont pas des pronoms personnels ; qui cite Simone de Beauvoir ou George Orwell pour affirmer que la langue ne façonne pas le monde, alors que l'ensemble de leurs œuvres dit exactement l'inverse ;