Lors de l'examen du texte en commission, nous l'avons entre autres amélioré en substituant à la date du 23 février 2005 celle du 18 juillet 1985, afin d'accroître sa portée. Pour des raisons de coordination juridique, et par esprit de cohérence, nous proposons désormais une nouvelle rédaction qui, prenant en compte le mécanisme de la prescription acquisitive trentenaire d'un terrain privé, retient un délai de trente ans.