J'évoquais, en défendant mon amendement précédent, la nécessité d'adapter le droit aux nouvelles technologies. Cette remarque s'applique aussi aux deepfakes, que la technologie ne permettait pas de réaliser il y a quelques années et, encore récemment, dont beaucoup d'entre nous ignoraient jusqu'à l'existence.
L'amendement vise tout simplement à inverser la charge de la preuve en demandant à l'éditeur de démontrer le consentement de la personne concernée. Cette inversion, qui prévaut dans d'autres domaines du droit, permettrait évidemment de renforcer les droits de la personne filmée.