Il y avait « Bruno demande », il y a désormais « Bruno bricole ». Nous voilà devant un texte dont on ricanerait si la situation de nos concitoyens n'était pas si dramatique. C'est un bidouillage technique pour occuper l'espace, du brassage de vent qu'absolument personne ne vous a demandé, et dont pas un des acteurs de l'économie que nous rencontrons depuis des semaines ne veut.