En cohérence, j'émets un avis défavorable. Comme M. Descrozaille l'a dit, sans remettre en question le dysfonctionnement des clauses de renégociation, je vois mal comment on pourrait les modifier dans un texte qui vise à avancer de quarante-deux jours les négociations. Je ne suis certes pas Bruno Le Maire, mais je vous le dis : il est important que la représentation nationale se saisisse du problème et étaie ses points de vue, notamment la proposition de M. Potier. Il revient au Gouvernement ou au Parlement de revoir ces clauses.