Sur le fond, nous avons besoin de débattre de ces questions qui sont absolument essentielles pour l'avenir de notre pays, et l'abandon annoncé par le Gouvernement de la loi de programmation pluriannuelle sur l'énergie et le climat n'est pas un bon signe.
Sur la forme, vous nous avez dit, monsieur le rapporteur général, que vous aviez retravaillé un amendement de notre collègue David Amiel, qui avait été jugé irrecevable. Je ne suis pas sûr que cela soit satisfaisant, si seuls les députés de la majorité peuvent bénéficier de cette solution : cela s'apparente à une rupture d'égalité.