Pour nous, la porte d'entrée est la mesure des pesticides à des moments donnés et sur des points donnés. Votre question porte sur l'exhaustivité de la connaissance sur le territoire. À ce jour, nous ne disposons pas de la totalité de l'information sur la totalité du territoire, à tout moment, alors que nous l'avons pour les polluants réglementés.
Dans la plupart des régions, nous travaillons avec les chambres régionales d'agriculture, notamment celles qui disposent d'un conseiller « air ». Avant d'arriver à une réduction des émissions, nous pouvons expérimenter diverses solutions comme des haies ou des murs. Ces solutions mériteraient d'être poussées pour disposer d'une réponse intermédiaire pour les riverains et pour donner le temps à la profession de travailler sur le sujet. Une étude intitulée « Repair » a été menée en ce sens avec huit chambres d'agriculture, des Aasqa et l'Inrae, mais nous sommes encore au début du chemin.